Les visions oniriques de Maia Flore
12/04/2016 - 2 minutes
Actualité
Après des études d’arts graphiques, Maia Flore découvre la photographie.
Elle y trouve une expression plus libre que dans la peinture, le dessin et le collage qu’elle pratique.
Il lui apparaît désormais évident d’utiliser l’image photographique pour concrétiser « une pensée loufoque, absurde ou rêvée ».
Évident, également, d’y insérer sa propre image, silhouette gracieuse et longue chevelure rousse, pour donner corps à ses visions.
C'est en Suède qu'elle commence sa première série « Sleep Elevations ».
Portée dans les airs, dans l’abandon d’un sommeil enfantin, par des ballons, des hélices, des voiles ou des fleurs, elle entame là une recherche sur le mouvement et le placement physique dans l’espace.
Elle y trouve une expression plus libre que dans la peinture, le dessin et le collage qu’elle pratique.
Il lui apparaît désormais évident d’utiliser l’image photographique pour concrétiser « une pensée loufoque, absurde ou rêvée ».
Évident, également, d’y insérer sa propre image, silhouette gracieuse et longue chevelure rousse, pour donner corps à ses visions.
C'est en Suède qu'elle commence sa première série « Sleep Elevations ».
Portée dans les airs, dans l’abandon d’un sommeil enfantin, par des ballons, des hélices, des voiles ou des fleurs, elle entame là une recherche sur le mouvement et le placement physique dans l’espace.
Un travail qu’elle expose en février 2011 au festival Circulation(s) de la Jeune Photographie Européenne à Paris. Cette même année, elle devient membre de l'Agence VU'.
Durant l'été 2012, lors de sa première résidence en Finlande, puis en 2013 et 2014, au Kala Art Institute de Berkeley en Californie, Maia Flore explore de nouvelles méthodes de représentation et de narration.
En découlent deux séries (« Situations » et « Morning Sculptures ») où le dialogue poétique, parfois surréaliste, entre le corps et son environnement s’intensifie dans des jeux perceptifs et graphiques.
Lors d'une Carte blanche de l'Institut Français, l’onirisme de Maia Flore conquiert vingt-cinq des plus beaux sites culturels hexagonaux pour la série « Imagine France – Le voyage fantastique » (2014).
Il se déploie également dans des commandes, notamment pour la presse internationale (Libération, The New Yorker, Kinfolk,…). En 2015, elle fut lauréate du prix HSBC pour la photographie.
Crédits photos* : © Maia Flore/Agence VU’
*Photos recadrées
Lors d'une Carte blanche de l'Institut Français, l’onirisme de Maia Flore conquiert vingt-cinq des plus beaux sites culturels hexagonaux pour la série « Imagine France – Le voyage fantastique » (2014).
Il se déploie également dans des commandes, notamment pour la presse internationale (Libération, The New Yorker, Kinfolk,…). En 2015, elle fut lauréate du prix HSBC pour la photographie.
Crédits photos* : © Maia Flore/Agence VU’
*Photos recadrées
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