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[ALUMNI] Lucas Frayssinet et Ophélie Giralt, dans l’émission “Échappées Belles”.

2022-11-16

Ce samedi 19 novembre, aura lieu la diffusion de l’émission “Échappées Belles” sur France 5 à 20h55.Deux de nos anciens étudiants, Lucas FRAYSSINET, Ophélie GIRALT sont partis pendant de longs mois sur les îles Féroes. Jérôme PITORIN (journaliste, réalisateur et animateur de télévision) de l'équipe d'Arté les a rejoints pour découvrir l'archipel de 18 îles, sur les Îles Féroé, qui constituent un pays constitutif du Danemark.BoutonLors de l’émission, ils parleront de leurs projets photographiques, iront visiter la capitale Tórshavn qui se situe sur l’île principale Streymoy. Nous les verrons tenir une dégustation de spécialités locales et ensuite, ils réaliseront une photo à la chambre photographique avec les enfants de la classe de la ville de Toftir. En effet, Ophélie et Lucas ont travaillé lors de la dernière année scolaire sur les mythes et les légendes avec cette classe de CM1. Ils ont réalisé différentes photographies avec les enfants en les mettant en scène avec des costumes. En voici la vidéo "backstage" :Lucas FRAYSSINET et Ophélie GIRALT Lucas, originaire d’Agen, a débuté la photographie grâce à son père également passionné. Il est donc allé suivre la formation BTS Photographie de l'ETPA et a continué avec la 3ème année d'Approfondissement. Lucas développe son activité de photographe, il crée en continu et navigue entre ses projets de portraits, et ses reportages, en France comme à l'étranger.  En 2020, il fut Lauréat de la Jeune Photographie Occitanie. En février 2021, il fait parti de l'Agence de photographes Hans Lucas. Son travail est axé sur l'humain ainsi que sur les problématiques sociales et environnementales.Ophélie est originaire du Nord-Est de la France. A 21 ans, elle intègre l'ETPA à Toulouse afin de poursuivre ses études pour obtenir une licence en photographie. En deuxième année de ses études, elle participe au campus international des Promenades Photographiques de Vendôme et obtiendra sa licence avec mention spéciale du jury pour le Grand Prix de septembre 2020.Elle s’oriente vers une photographie en rapport à l'enfance en explorant les fragments de ses souvenirs passés. Elle met un accent pour la mise en scène et le portrait. Leur Instagram :Lucas Frayssinet ; Ophélie Giralt(Crédits photo portrait : La Dépêche )

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[ALUMNI] Tao Douay lauréat du Prix LNP

2022-11-05

Les 4 et 5 novembre dernier a eu lieu à Paris le Festival Les Nuits Photo. Cet événement, créé en 2012, mais qui existe sous cette forme depuis seulement 2021, s’est tenu conjointement à L’Entrepôt (14e arrondissement) et à la Bibliothèque François Villon (10e arrondissement), et a rassemblé près d’un millier de personnes, venues découvrir les œuvres proposées par les candidats de cette édition 2022.Le Festival Les Nuits Photo met à l’honneur le film photographique, forme hybride qui offre aux photographes de nouveaux champs d’expression, que l'événement vient recomposer chaque année du Grand Prix LNP. Pour cette édition 2022, les organisateurs ont reçu pas moins de 96 projets, proposés par des artistes venus de France, de Belgique, d’Espagne, d’Allemagne, mais aussi d'Argentine, du Canada, du Sri Lanka, du Maroc et de Turquie.Chaos ou l’omniprésence de la mortEt c'est un ancien étudiant de l’ETPA, Tao Douay, qui a remporté le Grand Prix LNP. Une récompense attribuée pour son film Chaos dans lequel l'artiste, qui a remporté le Grand Prix Photo de l’ETPA en 2012, met en mouvement des photographies en noir & blanc, sur lesquelles il superpose des illustrations macabres, qui viennent rappeler au spectateur la fragilité de notre humanité, face à laquelle les hommes - de tous temps et de tous âges - sont tous égaux. "Nous venons au monde en sursis, explique Tao Douay, mais la mort est si terrifiante que nous feignons de l’ignorer. Pourtant, lorsqu’un·e proche s’en va, la gravité de notre condition nous rattrape". Une mort certaine donc, que l'on tente d'oublier, de repousser, mais qui est en nous à chaque instant, comme le rappelle ce travail, certes sombre, mais empreint d'une grande sincérité.Des talents au révélateurEn remportant le prix LNP, Tao Douay se voit octroyer une dotation de 1000€ par la SAIF. Aussi, son travail sera diffusé sur les médias partenaires du festival (9 Lives Magazine et Fisheye Magazine), ainsi que dans le cadre des Promenades Photographiques de Blois et des Nuits Photographiques de Pierrevert.Cette édition du festival Les Nuits Photo a été l'occasion de mettre en lumière d'autres jeunes talents. On peut notamment citer Julien Athonady et Thibault Le Marec, lauréats du prix Diapéro 2022 avec leur film Cape ou pas Cape ?, ou encore Salomé Hévin, qui a remporté le prix de la Cassette 2022 avec son film Des frères.© Tao Douay, Lauréat du GRAND PRIX LNP 2022 avec CHAOS 

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[Festival] ManifestO 2022

26 juillet 2022

Le 9 septembre prochain marque le début de la 20e édition du festival Manifesto - Rencontres photographiques de Toulouse. Comme un aurevoir à une époque bientôt révolue, le festival consacre son édition 2022 à ses anciens lauréats, ainsi qu'aux artistes qui se sont associés au festival tout au long de ces belles années.Festival Manifesto : cap sur la 20e éditionParmi les photographes sollicités, ce sont 30 projets qui ont été retenus par les organisateurs, pour habiller les fameux containers et illuminer les bords de la Garonne. À l'occasion de ce rendez-vous annuel, les visiteurs pourront aller à la rencontre du travail de Camille Gharbi par exemple, qui expose à cette occasion une série sur les violences conjugales. Ou de celui de Jean-Christophe Gaudet, qui nous rapporte l'atmosphère d'un environnement pénitentiaire qu'il a réussi à pénétrer en tant que photographe. Ou encore de la série Swimming in the black sea de Philippe Guionié, enseignant à l'ETPA, qui accomplit là un poème visuel inspiré d'un personnage de Jules Verne.Le travail de Noémie Lecampion, Grand Prix Photo ETPA 2022, mis en lumièreComme chaque année, le festival Manifesto expose le travail du lauréat du  Grand Prix Photo ETPA de la dernière promotion en date, offrant ainsi aux jeunes talents une importante visibilité. Cette année, ce sera donc Noémie Lecampion qui aura la chance d’exposer son travail, avec un éclairage en deux temps : sa série Monochrome, qui lui a valu le Grand Prix Photo ETPA 2022, sera exposée au sein de la galerie Photon du 15 septembre au 6 décembre. Quant à sa série Impressionnisme, elle fera l’objet d’une autre exposition, place Saint Pierre, du 16 septembre au 1e octobre.Les prémices d’un renouveau pour ManifestoCette 20e édition du festival sera semble-t-il la dernière sous sa forme actuelle. En effet, sur le site internet officiel, les organisateurs ont affiché leur envie de "changer de cap, d'envisager autre chose, une autre dynamique", pour donner au festival l'occasion de se réinventer et de nous surprendre, encore et toujours, avec une programmation éclectique et enrichissante. Vivement l'année prochaine !

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[Grand Prix] Les lauréats 2022

12 juillet 2022

Le 30 juin dernier, l'ETPA a organisé le Grand Prix Photo de sa promotion 2022. L’événement, qui s’est tenu au sein du campus de Toulouse, était l'occasion pour les étudiants de présenter les travaux élaborés tout au long de l’année.Le Grand Prix Photo ETPA est un moment très attendu de la part des étudiants de 3e année d'Approfondissement Photographique. Cette consécration, qui conclut 3 années de travail intensif et d'investissement sans faille, leur permet de se confronter au regard des professionnels de la photographie, qui jugent à cette occasion la qualité du travail élaboré, son originalité et sa pertinence. L’intégralité des projets fait l’objet d’une exposition, dans laquelle parents et professionnels peuvent déambuler, à la découverte des productions des étudiants.Les lauréats 2022Cette année, les membres du jury ont eu la lourde tâche de choisir parmi une sélection de dossiers tous plus pertinents les uns que les autres. Et c'est Noémie Lecampion qui a remporté le Grand Prix Photo 2022, notamment pour sa série Monochrome, inspirée des œuvres de l'artiste Yves Klein.Prix Spécial du Jury, Robin Garandel n’est pas en reste, puisqu’il voit ainsi son travail récompensé.Enfin, les travaux de Martin Portes, de Pauline Rome, de Thomas Maquevic et de Siouxie Coutellec se sont aussi démarqués, les membres du jury leur ayant attribué à chacun une  Mention Spéciale.Focus sur la lauréate du Grand Prix Photo 2022“Ma rencontre avec l’œuvre d’Yves Klein m’a amenée à l’homme, à sa vie, ses amis et à son histoire. De Nice à Paris en passant par Fontenay-Aux-Roses et La Colle sur Loup, je m’imprègne de sa présence, de sa vue poétique, de son rapport au monde”. C’est en ces termes que Noémie Lecampion explicite sa démarche artistique, et donne à lire sa série Monochrome, qui sera par ailleurs exposée du 14 septembre au 30 novembre 2022, durant le Festival Manifesto. À cette occasion, il sera également possible de découvrir Impressionnisme, une autre série de la photographe lauréatée.Félicitations à tous pour leur travail ! Grands Prix test boutonL'événement en image

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6 anciens étudiants de l’ETPA sélectionnés par le Ministère de la Culture

11 juillet 2022

En 2021, le Ministère de la Culture confiait à la Bibliothèque nationale de France (BnF) la direction d’une commande photographique de grande envergure, entièrement consacrée aux photojournalistes. Dans ce cadre, ce sont des centaines de photographes issus des quatre coins de l’Hexagone, mais également des territoires outre-mer, qui ont répondu présents et ont soumis leur candidature en vue de rejoindre les 200 lauréats désignés par le comité de sélection. Parmi eux, l’ETPA est fière d’annoncer la présence de 6 de ses anciens étudiants.Une commande historiqueRadioscopie de la France : regards sur un pays traversé par la crise sanitaire. C’est le nom de cette commande d’ampleur historique confiée à la BnF par le Ministère de la Culture, et qui s’inscrit dans le cadre du plan gouvernemental de soutien à la filière presse. Annoncé en août 2020, dans un contexte sanitaire qui a grandement impacté le secteur, ce plan visait d’abord à lui permettre de se relever d’une conjoncture délicate, et à préparer son avenir en faisant face aux nouveaux enjeux de notre société.Le comité de sélection, composé de représentants de la BnF, de représentants du Ministère de la Culture et de personnalités issues du monde de la photographie et de la presse, a pu œuvrer en deux temps - le premier appel à projet a eu lieu en 2021, le second en 2022 - et apprécier le travail hétéroclite des candidats. Parmi les sujets traités, ce sont en premier lieu les préoccupations sociales, politiques, économiques et écologiques, qui ont été explorées. D’autres sujets sociétaux, tel que l’accueil réservé aux migrants, la guerre en Ukraine, les questions de genre, ou encore des thématiques plus légères - les loisirs, le sport, le tourisme - sont autant d’indices qui témoignent d’une société en perpétuel mouvement, empreinte d’un grand nombre de défis et de questionnements que les photojournalistes capturent admirablement au quotidien.6 anciens de l’ETPA parmi les lauréatsParmi les 200 lauréats sélectionnés, l’ETPA peut s'enorgueillir de la présence de 6 anciens étudiants sortis de ses rangs. Récompensés pour leur talent et le travail qu’ils ont pu accomplir dans le cadre de leur activité, ils se voient attribuer un financement d’un montant de 22.000€ chacun, qu’ils pourront mettre au service du projet de leur choix. Toute l’équipe de l’ETPA adresse un immense bravo à Gilles Favier, Romain Laurandeau, Ludovic Carème, Laurent Moynat, Théo Combes, et Pablo Baquedano, qui portent haut les couleurs de l’école.

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[ALUMNI] Sara Imloul invitée au FotoHaus 2022 de Arles

16 juin 2022

Sara Imloul, ancienne étudiante de l’ETPA, fait partie des artistes qui seront exposés au FOTOHAUS Arles 2022, avec la série Les Règles du je, fruit de sa collaboration avec la photographe et vidéaste finlandaise Elina Brotherus.Un pont entre Paris et BerlinFOTOHAUS est une manifestation qui réunit chaque année des expositions de la scène photographique franco-allemande. Véritable lieu de rassemblement, il a pour vocation d’être un lieu d’échange, de synergie et de partage, pour tous les acteurs de la photographie.L’événement, dont l’ETPA est l’une des partenaires, est porté par l’association ParisBerlin>fotogroup, fondée en 2001 par la commissaire d’exposition Christel Boget, et dont l’objectif est de “promouvoir la photographie contemporaine tant sur l’axe Paris-Berlin qu’en Europe”.“Quand ça ressemble trop à de la photographie, je n’aime pas.”Cette année, l’événement, qui se tient à Arles au sein de la fondation Manuel Rivera-Ortiz, présente 7 expositions, sur la thématique Sein und Schein “être et paraître“. Parmi les travaux exposés, les visiteurs pourront découvrir le travail de Sara Imloul. Ancienne étudiante diplômée de l’ETPA (promotion 2011), cette photographe plasticienne née en 1986, pratique une photographie symbolique et autobiographique, où elle s’attache à “fixer dans l’obscurité ces noirs et blancs des visions intérieures nées du souvenir”. C’est notamment grâce à un procédé technique spécifique, la calotypie*, que Sara Imloul parvient à réaliser ces images oniriques, et dont le décalage est renforcé par un travail plastique sur ses tirages photographiques. L’artiste n’hésite pas à mêler dessin, collage et autres compositions narratives, en vue d’obtenir des rendus singuliers. Ce n’est d’ailleurs pas anodin si, en 2015, elle avouait au magazine Cinq26 : “Quand ça ressemble trop à de la photographie, je n’aime pas.”(*Procédé breveté par W. Fox Talbot en 1841, la calotypie permet d'obtenir un négatif papier)Une collaboration avec Elina BrotherusC’est la série Les Règles du je, fruit de sa collaboration avec la photographe et vidéaste finlandaise Elina Brotherus, que les deux artistes exposent à l’occasion de FOTOHAUS Arles 2022. Sur le site de la manifestation, Emilie Houssa, co-directrice du Centre Claude Cahun pour la photographie contemporaine, présente la série en ces termes : “Ces images coulent et, face à elles, nous sommes pris(e)s dans un flot de mots possibles et de mondes cachés. Il y a une certaine magie à traverser ces images, on vole d’un espace à l’autre sans jamais se cogner car il y a trop de choses à dire, des chants plein les oreilles, des paysages plein le nez.”FOTOHAUS 2022 se tient à la fondation Manuel Rivera-Ortiz à Arles du 4 juillet au 25 septembre 2022FOTOHAUS Arles 2022 en brefOù ? A la Fondation Manuel Rivera-Ortiz - 18 Rue de la Calade - 13200 ArlesQuand ? Du 4 juillet au 25 septembre 2022En savoir plus 

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[EXPO] L’ETPA partenaire du studio Chez Lucette qui fête ses 10 ans !

09 juin 2022

Les 10 ans du studio Chez Lucette, un rendez-vous à ne pas manquer !Le samedi 11 juin prochain l’ETPA sera présente aux 10 ans du studio Chez Lucette. Pour l’occasion, ce dernier organise une exposition en donnant carte blanche aux photographes qui y ont travaillé, dont la grande majorité sont des anciens étudiants de l’ETPA. Un rendez-vous à ne pas manquer !Un partenariat bien ancréEn 10 ans, le studio Chez Lucette a vu passer de nombreux photographes issus de l’ETPA. Pour son anniversaire, le studio a invité tous les photographes qui en ont foulé le sol et leur a donné carte blanche pour un accrochage « libre et sauvage ». Parmi les invités, une quarantaine d’étudiants de l’ETPA, passés par le studio, s’y retrouveront pour exposer une photo de leur choix.La philosophie du studio Lucette est simple : partager des expériences toutes générations confondues pour lesquelles l’ETPA est bien représentée. En effet, en l'espace de 10 ans, 3 générations de photographes de 20 à 70 ans s’y sont croisés. Le 10 juin prochain, de 10h à 18h, Cez Lucette et l'ETPA fêteront donc une décennie de collaboration ! Le public pourra alors découvrir le travail des photographes issus de l’ETPA pour la majeur partie. Par ce partenariat, notre école soutient et encourage la démarche artistique du studio.Rendez-vous le 11 juin prochain de 10h à 18h au studio Lucette, 20 rue Helliot à Toulouse !Vernissage samedi 11 juin à 18h

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[ALUMNI] Alexis Vettoretti expose au festival ImageSingulières

03 juin 2022

Alexis Vettoretti s’expose tout l’été au festival ImageSingulièresÀ l’occasion du festival ImageSingulières, dont l’ETPA est partenaire pour la 5e année consécutive, le photographe Alexis Vettoretti, mention spéciale du jury ETPA en 2013, verra sa série Paysannes exposée tout l’été au Jardin Antique Méditerranéen (Balaruc-les-Bains). Un regard sur une époque révolueCette série, qui donne la parole à ces femmes d’une autre époque dont les “visages portent les traces du passage d'un siècle qui a vu notre société passer de la tradition à la modernité”, fait état d’un mode de vie révolu. Le travail de la terre, l’éducation des enfants, la ruralité, le soin du foyer, sont autant de valeurs d’un autre monde.C’est d’ailleurs bien le regard sur une société, celle d’aujourd’hui ou celle d’hier, qu’Alexis Vettoretti dépeint dans son travail. Très attaché à la photographie documentaire et sociale, il souhaite se faire le témoin d’une réalité à l’instant T, qu’il tente de retranscrire avec la plus grande objectivité. “J’aime les huis clos, photographier les gens dans leur intérieur", confiait-il à Midi Libre en mars dernier à propos de cette série, pour laquelle il s’est invité chez ces femmes nées après-guerre. Il admet d’ailleurs sans mal que "la photographie est (son) passeport pour entrer chez les gens". Mention spéciale du Prix de la photo Camera Clara 2022C’est d’ailleurs son regard au plus près de ces paysannes qui lui a valu en mars dernier de remporter la “mention spéciale” du Prix de la photo Camera Clara 2022.Sur son site web, l’artiste de 33 ans fait un résumé éloquent de sa démarche artistique et sociétale :“La photographie sociale me donne accès à des univers très différents, et me permet d'interroger des pratiques sociales pour tenter d'éclairer par l'image les zones d'ombre de notre société, sans à priori mais en projetant sur les faits ma propre grille de lecture.” Alexis Vettoretti au festival ImageSingulières, en brefQuand ? Tout l’étéOù ? Au Jardin Antique Méditerranéen - Rue du Pioch - 34540 Balaruc-les-BainsPlus d’infos ! Son site

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[ALUMNI] Clément Marion remporte le Prix ISEM !

31 mai 2022

Clément Marion (promotion 2020) récompensé du Prix ISEM Jeune PhotographeLe Prix ISEM Jeune Photographe 2022 a été attribué à Clément Marion, pour sa série Phoenix. Diplômé de l’ETPA en 2020, ce jeune photographe avait déjà été récompensé pour son travail sur cette série dédiée aux grands brûlés, puisqu’il avait remporté la Mention Spéciale du Jury à l’occasion du Grand Prix ETPA 2020. “Spécialisé dans les procédés alternatifs et anciens”C’est grâce à l’usage d’un procédé technique très particulier, le collodion humide, que Clément Marion est parvenu à donner à ses images une dimension éminemment réaliste : avec le collodion humide - qui consiste en un mélange de collodion et de nitrate d’argent - “la pellicule [...] finit par se durcir, se rétracter, parfois se craqueler et souvent changer de couleur. Le parallèle entre cette texture et celle de la peau cicatrisée des grands brûlés étant évident”, précise le jeune photographe.Ainsi, le traitement photographique vient mettre en relief la texture de la peau des sujets de sa série, créant une sorte de corrélation entre le contenant et le contenu. De manière plus générale, Clément Marion s’est spécialisé depuis sa sortie de l’ETPA dans les procédés alternatifs et anciens, renouant avec une dimension plus artisanale et unique de la photographie. Une bourse à hauteur de 2000€Le Prix ISEM Jeune Photographe est une récompense décernée à l’occasion du festival ImageSingulières de Sète, et qui vient gratifier le travail de photographes de moins de 26 ans, résidant sur le sol français. Il offre une dotation à hauteur de 2000€ à son lauréat, ainsi qu’une publication de l’un de ses travaux en cours sur Médiapart. Enfin, le lauréat se voit octroyer le droit d’intégrer une Masterclass de 3e année au sein de l’ETPA. Ce prix, ainsi que le Grand Prix ISEM, ont été créés en 2018 à l’initiative de Mediapart, du festival ImageSingulières et de l’ETPA, afin d’aider et soutenir les jeunes photographes documentaires dans leur pratique.Félicitations à lui pour son travail remarquable ! Clément Marion en brefIl est né en 1996 à Pertuis (Vaucluse)Diplômé de l’ETPA en 2020Son site

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[ALUMNI] Paul Baudon remporte le prix Troude 2022 !

30 mai 2022

Paul Baudon lauréat de la Bourse Laurent Troude 2022L’ETPA et ses équipes pédagogiques sont heureuses d’annoncer que la Bourse Laurent Troude 2022 a été attribuée à Paul Baudon. Cet ancien étudiant de l’école, Grand Prix ETPA en 2019, s’est distingué grâce à sa série “Péninsule”, qui met en lumière les habitants du Médoc et ses paysages fantasmagoriques. De la passion pour la photographie documentairePaul Baudon est originaire de Libourne, en Gironde, et se passionne pour la photographie documentaire dès sa sortie d’école. Sa prédilection va aux sujets sociaux, et aux motifs géographiques et démographiques, qui façonnent très significativement son art. Avec sa série “Péninsule”, largement plébiscitée par les membres du jury, il revient dans sa région natale, qu’il dépeint de façon très subjective.Paul Baudon s’était déjà fait remarquer en 2019 grâce au travail qu’il avait élaboré dans le cadre de son projet “Manifester”, et pour lequel il avait suivi le mouvement des gilets jaunes, retranscrivant de façon très juste l’esprit de révolte. La Bourse Laurent Troude, pour aider les jeunes artistes à développer leur artLa bourse, créée en 2019 et qui tient son nom du photojournaliste Laurent Troude, récompense chaque année les photographes de moins de 30 ans. Elle vise à soutenir les jeunes artistes qui ont fait le choix de développer un projet photographique au sein du territoire français, afin de leur permettre de développer leur pratique.Chaque année, le lauréat de ce prix se voit attribuer une dotation de 8000€ de la part de la SAIF (Société des Auteurs des arts visuels et de l'Image Fixe) et de Libération, ainsi qu’un abonnement annuel à la plateforme Divergences Images.Dans le cadre de l'obtention de la Bourse Laurent Troude, Paul Baudon verra son travail exposé lors de l’édition 2023 du festival ImageSingulières, à Sète.Félicitations à lui pour son travail et sa persévérance !Paul Baudon en brefNé en 1993 à Libourne (Gironde)Diplômé de l’ETPA en 2019Son site 

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ImageSingulières 2022 est lancé !

27 mai 2022

ImageSingulières : 14e édition du festival de la photographie documentaireCe jeudi 26 mai débute à Sète le festival ImageSingulières, dont l’ETPA est partenaire depuis 2018. Entièrement dédié à la photographie documentaire, ce festival se déroule pendant près de 3 semaines au cœur de la ville de Sète. Grandement chamboulée ces deux dernières années, son organisation reprend “à la normale” pour cette 14e édition, et investira notamment le Chai des Moulins, le Centre Photographique Documentaire, la Gare de Sète, l’ancien cinéma The Rio, pour s’étirer jusqu’à l'archipel de Thau, le Jardin Antique Méditerranéen à Balaruc-les-Bains ou encore le Musée Ethnographique de l'Étang de Thau à Bouzigues.La photographie documentaire comme témoinAu programme, des expositions, des soirées projections, mais aussi des rencontres-débats, de la musique et des rassemblements.Parmi les expos, on peut notamment citer le vernissage du travail très prometteur de Myriam Boulos. Cette jeune libanaise de 30 ans, lauréate du Grand Prix ISEM 2021, donne à voir sa perception de l’histoire récente de Beyrouth, sa ville natale. Le collectif Tendance Floue présentera quant à lui une scénographie de son nouveau projet, « Fragiles », qui interroge une version du monde de plus en plus vulnérable et incertaine. Enfin, le festival donne carte blanche au graphiste engagé Dugudus, qui se voit confier les clés du Chai des Moulins pour son expo “Sur les murs”. Au programme, une rétrospective de la tradition de l'affiche politique, message de résistance et d’espoir, et qui résonne de façon particulière au regard de l’actualité géopolitique.Qu’est-ce que le Grand Prix ISEM ?Créé en 2018 à l’initiative de l’ETPA, de MediaPart et d’ImageSingulières, ce prix aspire à apporter une meilleure visibilité aux talents photographiques, en octroyant à son lauréat une bourse de 8000€, en vue de lui permettre de développer ou d’achever un travail documentaire en cours. Le lauréat du Grand Prix ISEM est exposé à l’occasion du festival ImageSingulières de l’année qui suit.Son petit frère, le Prix ISEM Jeune Photographe, s’adresse aux photographes de moins de 26 ans, et est doté de 2000€.L’ETPA est fière de porter, aux côtés de ses partenaires, cette alliance artistique, qui s’appuie sur la mise en commun de moyens et de ressources à destination des nouveaux talents.Le festival ImageSingulières en brefC’est quoi ? La 14e édition d'un festival de la photographieC’est quand ? Du 26 mai au 12 juinLe programme en détail ? C’est par ici

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L'un de nos étudiants se distingue sur Fisheye

20 avril 2022

Paul D'Arcangela, coup de cœur dans le magazine FisheyesBien qu'il soit étudiant en 2ème année Praticien Photographe, Paul d'Arcangela est déjà un artiste très actif ! Entre la danse et la photographie, ce dernier s'est fait récemment remarqué par le magazine Fisheye, et plus exactement dans la rubrique des Coups de cœur, pour sa série I Care About My Woman."Ma série remarquée sur Fisheye, "I Care About My Woman", avec laquelle je suis également finaliste du prix Picto de la Mode 2022, est une série personnelle, dans laquelle j’aborde les notions de genre et d’intimité. Ces mises en scène ont lieu chez les jeunes hommes photographiés. Ces derniers regardent l’objectif de manière neutre et non revendicative, comme pris sur le vif pendant un brunch, dans une tenue qui pourrait sembler ne pas leur appartenir puisque considérée généralement comme féminine. C’est comme s’ils s’étaient levés et avaient pris les premiers vêtements qu’ils avaient trouvés. Je voulais montrer par cette série le fait de reconnaître sa part féminine, l’accepter, en prendre en soin, la cultiver, et la nourrir, en y mettant des touches humoristiques. Il y a également d’autres photographies issues d’autres séries qui sont apparues dans les coups de coeur Fisheye , comme des extraits de « Comme une maison qui s’écroule » ou encore un aperçu d’une série en cours, « Seuls Ensemble ». Dans cette série, on peut apercevoir des corps qui s’enlacent, qui s’enmêlent, qui se serrent, alors que sur chaque photographie n’est présente qu’une seule personne. Elle est réalisée en collaboration avec des danseurs (j’aime beaucoup travailler avec les danseurs)."En lice pour le Prix Picto 2022Paul figure également parmi les finalistes du Prix Picto 2022, avec la même série de photos retenue par Fisheye. 

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Alexis Vettoretti - Prix de la Photo Camera Clara 2021 / Paysannes

[CONCOURS] Alexis Vettoretti se distingue au Prix de la Photo Camera Clara 2021

10 février 2022

Alexis Vettoretti s’est à nouveau distingué pour son travail documentaire. Cette fois, il s’agit du Prix de la Photo Camera Clara 2021. Avec sa série Paysannes, il remporte la mention Spéciale du jury.Spécialisé dans l’art de « raconter les autres », Alexis Vettoretti cherche à comprendre les individus qui composent notre société au travers de son objectif et par le dialogue. Avec sa série Paysannes, il met en lumière une génération de femmes en voie de disparition, ultimes représentantes d’une époque révolue (ou presque).Dans les sciences de l’évolution, on parle de « saut évolutif » lorsqu’une espèce subit un changement radical pour s’adapter à son environnement. Dans les sociétés humaines, il arrive parfois qu’un mode de vie qui perdure depuis des siècles, disparaisse soudainement. La cause peut en être la guerre, la maladie ou une révolution. Ici, il s’agit de la vie paysanne française, un mode de vie qui a quasiment disparu en 2 générations :« Une ferme comme on peut en voir dans les campagnes françaises. Peu à peu, les autres fermes qui l’entouraient ont fait place à des lotissements.C’est ici que vit Thérèse. Et c’est dans un décor semblable que vivent Gracieuse, Bernadette…Paysannes. Leurs visages portent les traces du passage d’un siècle qui a vu notre société passer de la tradition à la modernité.Travailler la terre. Élever ses enfants. S’occuper du foyer. Existence héritée d’une époque dont les derniers vestiges s’effacent lentement.Impensable, inacceptable pour les enfants du XXIe siècle que nous sommes.Dernières héritières d’un mode de vie qu’elles n’ont pas choisi, elles sont le pont entre deux époques. »

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