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Concours ISEM (ImageSingulière ETPA Médiapart) de la photographie, du 5 janvier au 31 mars 2021Pour la quatrième année consécutive, ImageSingulières, l’ETPA et Mediapart soutiennent les jeunes artistes photographes dans leurs projets. Ces derniers concourent pour deux prix différents qui s’inscrivent dans le champ de l’image documentaire.Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 31 mars 2021 (à minuit)Il ne suffit pas d'avoir du talent pour percer dans le milieu artistique. Cela est valable en France, comme ailleurs. La plupart du temps, un petit coup de pouce est nécessaire, et c'est ce que tentent de faire les organisateurs de ce concours ! Quel est le meilleur moyen d'aider un photographe en devenir ? En lui donnant de la visilibité et en finançant ses projets. Car beaucoup manquent de moyens pour achever leur travail et certains doivent parfois se résoudrent à abandonner, faute d'argent. Surtout avec des sujets engagés, peu vendeurs, et qui s'avèrent plus complexes qu'ils ne l'avaient imaginé au départ. C’est pour soutenir ces projets difficiles que le festival ImageSingulières, le journal d’information Mediapart et l’ETPA, école de photographie et du Jeu vidéo installée à Toulouse, s’engagent, depuis 2018, autour de deux prix :Le « Grand prix ISEM » est ouvert aux photographes du monde entier. Doté de 8000 euros, il entend contribuer à développer et achever un travail documentaire en cours. Ce prix devra être utilisé pour poursuivre le travail récompensé. Dès l’annonce des résultats du prix, ce travail sera présenté sous forme de portfolio sur Mediapart et une fois complété, il fera l’objet d’une exposition à ImageSingulières.Le second « Prix ISEM jeune photographe » s’adresse lui aux moins de 26 ans résident sur le sol français. Doté de 2000 euros, il récompensera là aussi un travail en cours qui sera publié sur Mediapart. Le ou la lauréat(e) pourra aussi intégrer une Masterclass de 3ème année à l’ETPA.Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 31 mars 2020 (à minuit). Le jury se réunira le 8 avril, les projets retenus seront dévoilés le samedi 15 mai 2021 à ImageSingulières à Sète, et feront l'objet de portfolios sur Mediapart.Pour postuler, CLIQUEZ ICI !Pour rappel, en 2020, le Grand Prix ISEM a été attribué à Christian Lutz pour son projet Citizens, qui documente les mouvements populistes en Europe. Le Prix Jeune Photographe a quant à lui été attribué à Julia Gat pour la série Unbringing, sur des jeunes qui suivent un enseignement alternatif sans école obligatoire et qui illustre une certaine idée de la liberté de l’enfance.En illustration de cet article, les clichés de :Christian Lutz pour Citizens, Grand Prix ISEM 2020Romain Laurendeau pour Génération Mister Nice Guy : une jeunesse palestinienne sous emprise, ou les ravages de la drogue en Cisjordanie, Grand Prix ISEM 2019John Trotter pour No Agua, No Vida, Grand Prix ISEM 2018

à la médiathèque de Saint Girons du 08 Janvier au 03 Mars 2021Regards croisés d’une mère et de sa fille (Christine et Ida Jakobs)Un Deug d'Histoire de l'Art et un Master Communication en poche, Ida Jakobs s’est finalement orientée vers la photographie. À 35 ans, elle s’inscrit à l’ETPA de Toulouse et obtient à la fin de son cursus le 1er prix du jury ETPA 2014.Photographe accomplie, elle réalise entre 2013 et 2016 sa première série photographique intitulée "La vie devant soi", une galerie d’autoportraits des femmes de la famille dont elle est issue.Dans cette exposition, vous ne verrez que des femmes : ma grand-mère, ma grand-tante, ma mère et moi. C’est l’autoportrait d’une famille de femmes. […] La disparition. La transmission. Le sens de la vie. Quoi qu’il advienne, la vie devant soi. (Ida Jakobs)Sa mère, Christine JACOBS, réalise dans les années 70 des portraits poignants dans une série de photographies qu’elle nomme « Présences », mettant en perspective des jeunes qui se battent pour la libération de la femme et des anciennes qui tiennent leur foyer d’une main de fer. Ses photos nous questionnent sur la "liberté sexuelle" de la femme et de la place qu’elle occupe dans la société.Dans son exposition "De mère en fille", qui aura lieu à la médiathèque de Saint Girons du 08 Janvier au 03 Mars 2021, Ida nous propose le regard croisé d’une mère et de sa fille sur les femmes à 40 ans d’intervalle. Par une mise en scène épurée et forte, elle "passe de la réalité à la fiction pour fabriquer une mythologie familiale". Ces deux séries de photographies questionnent et répondent à la question "Être là".Habiter, pour moi, c'est Être là. Comment je suis là [...] Notre objectif est aussi de montrer l’importance de la transmission familiale, car il est évident que les anciennes générations ont beaucoup à nous apprendre. Mère en fille est une exposition fantaisiste aux tons grave mais surtout marante, car nous avons beaucoup rit lors de ces clichés.(Ida Jakobs)Pleins de projets en tête, la photographe réalise de nombreuses séries photographiques et travaille depuis 2013 à Londres sur une série documentaire autour de la solitude, de la folie et de l’amour. Depuis un an, elle questionne également "l’Être femme", d’un point de vue à la fois poétique et politique. Elle est aujourd’hui membre active du Labo sauvage, participe à de nombreux ateliers et collabore occasionnellement avec le laboratoire St Cyprien et l’association Déclic.

Mathilde De Keukelaere, qui a obtenu le Grand Prix ETPA 2020, expose actuellement au Laboratoire Photon de Toulouse.Intitulée « La perte des sens », ce vernissage occupera la galerie de Toulouse du 18 décembre au 2020 au 9 février 2021."Alors que les glaciers disparaissent et privent ses habitants de refuge,Que l’eau devient trop rare et s’évapore des sols déjà craquelés,Je m’interroge.Témoin d’une nature en altération, j’aspire à retrouver un équilibre.Cette proposition photographique représente ma vision d’un monde en changement où les images d'une nature idéalisée se confrontent avec celles d'une réalité plus sombre.Le cœur de la planète ne bat plus au même rythme que celui de l'homme."

 Christian Sanna, diplômé ETPA et Grand Prix Photo 2016, expose à La Fondation H ANTANARIVO de Paris, du 2 décembre 2020 au 23 janvier 2021.Cette fondation privée dédiée à la création artistique du continent africain présente Lettres à Embona du photographe Malgache-Italien. Né en 1989 et originaire de Nosy Be, île du Nord de Madagascar, l’artiste vit et travaille aujourd’hui à Paris.Dans cette série débutée en 2013 et toujours en cours, intégralement photographiée dans la région de Nosy Be, Christian Sanna privilégie une écriture émotionnelle, à l’opposé de l’approche documentaire de ses premiers sujets sur Madagascar. Les photographies argentiques qui composent Lettres à Embona, par leur dimension intime, constituent le premier chapitre d’une réflexion personnelle sur Nosy Be.Posés au sol, les bouts d’essais photographiques soulignent les multiples tentatives d’écrire mes émotions dans la chambre noire, autant de lettres détruites avant d’enfin trouver les mots justes.

Diplomée ETPA où elle a obtenu son diplôme avec une mention spéciale en septembre 2020, Pauline photographie le monde et des instants de vie.À travers cette série de photos réalisées en Roumanie, en février dernier, et intitulé Premier pas, Pauline nous raconte son histoire et nous emmène avec elle dans son voyage en solitaire vers la terre de ses origines. Elle y photographie la beauté des femmes, de la solitude et des paysages, faisant écho à son histoire personnelle.Une femme au bord d’un lac, un hiver froid, une silhouette qu’on devine dans l’ombre, une nappe brodée de breb. Des moments simples, des photos riches de sens qui nous transportent en terre inconnue et nous rappellent l’importance et la beauté des instants simples.Adepte du Portrait, ma démarche photographique tend à questionner le lien qu’entretiennent les femmes avec leur environnement, au cours de leur vie et de leur evolution personnelle. De la naissance à la vieillesse, les notions de filiation sont autant d’éléments de recherche qui composent mon travail. Je tente à travers mes images de faire apparaître l’intimité de ces personnes par une certaine lumière afin de déceler des histoires singulières.

Retrouvez Manon Renier dans l’exposition Tremplin Jeunes Talents du Festival Planches Contact, le festival de photographie de Deauville.Ancienne étudiante en section Photographie à l’ETPA, Manon Renier y expose sa série De Pierre et de sang, une série d’autoportraits sur l’intime et le corps. Un projet introspectif traitant du laisser-aller et du questionnement soi.Née le 27 mars 1992 à St Nazaire, Manon commence la photographie à l'âge de 19 ans en intégrant l'école de photographie ETPA de Toulouse dont elle sortira diplômée en 2014.Retrouvez-la sur son site : manonrenier.comSoutenez cette série et l’artiste en votant en ligne pour le « Prix du public Tremplin Jeunes talents 2020 » iciExposition Planches contactJusqu’au 3 janvier au Point de VueBoulevard de la mer à l'angle de la rue Tristan Bernard. DeauvilleOuverture les vendredis, samedis et dimanches du 2 nov. au 18 déc. 10h30 > 13h, 14h30 > 18h30

Le 10 septembre dernier s’est tenu le Grand Prix Photographie de l’ETPA. Ce rendez-vous annuel, auquel les équipes pédagogiques de l’ETPA ne sauraient déroger, marque l’aboutissement du parcours scolaire des étudiants et vient concrétiser leur passage dans l’univers professionnel.Une édition particulièreComme chaque année, et malgré une situation on ne peut plus inhabituelle, les étudiants en 3e année d'approfondissement photographique ont présenté leurs projets de fin d'études à un parterre de professionnels. Ces derniers, habitués de l'événement pour certains, ou novices en la matière pour d'autres, ont pu apprécier la qualité des travaux présentés et ont salué l'investissement des étudiants. Malgré les perturbations rencontrées cette année, les étudiants sont allés au bout de leur démarche créative, ont su s'adapter et présenter des projets de grande qualité.LA QUALITE TOUJOURS AU RENDEZ-VOUSParmi ces belles réalisations, le jury a été amené à trancher et c'est Mathilde De Keukelaere qui a reçu le Grand Prix 2020 pour son travail sur la série La perte des sens.Le Prix Spécial du jury a été attribué à Samuel Le Roux pour sa série La menuiserie.Enfin, d'autres étudiants se sont distingués et ont reçu une mention spéciale. Il s'agit de Clément Marion, Ophélie Giralt, Gaëlle Meneret, Amy Lauffer et Pauline Dupin sont pas en reste. Bravo à eux !À la différence des années précédentes, le jury s'est tenu trop tôt pour pouvoir exposer les travaux de notre lauréate au festival Manifesto. Une expo regroupant les travaux de nos diplômés a toutefois eu lieu dans les locaux de notre école. Quant à Mathilde, elle a pu mettre en valeur son travail au Laboratoire Photon de Toulouse et ce, jusqu'en mars.  

Manifesto revient encore cette année pour ouvrir dans la ville des fenêtres sur les oeuvres des jeunes talentueux photographes !13 ans de partenariat, ça se fête !Pour fêter un partenariat de longue date avec l'école, le festival mettra en avant une rétrospective des étudiants de l'école que Manifesto a mis en avant durant toutes ces années. Une exposition unique qui prendra place à la Galerie Photon, rue du Pont Montaudran.Jean Christien Bourcat, invité d'honneur du festivalCette année le festival a la chance d'avoir pour Invité d'honneur le célébre photographe Jean-Christian Bourcart Pour chaque nouveau sujet qu’il aborde, Jean-Christian Bourcart développe une écriture qui mêle à des degrés divers enquête, expérience, imagination, description et invention formelle. Par l’utilisation de plusieurs procédés (photographie, écriture, vidéo, cinéma), il propose une vision kaléidoscopique qui évoque, informe et interroge notre expérience intime, politique et spirituelle.Un festival partout dans la villeManifesto c'est une série d'évènements à travers la ville, accessible à tous et gratuit.Le festival Place Saint-Pierre débute le vendredi 18 septembre à 19h, vernissage jusqu’à 23hAccueil du public Place Saint-Pierre et Dj Set dès 19h,ouverture des expositions à 20h.Horaires du festival du 19 septembre au 3 octobre : tous les jours de 15h à 20het tous les samedis soirs jusqu’à 23h.Village ManifestO - expositions en conteneursdu 19 septembre au 3 octobreHoraires : tous les jours de 15h à 20h/ Samedis soirs jusqu’à 23hPlace Saint Pierre, 31 000Accès : Métro Ligne A (arrêt Saint-Cyprien-République ou arrêt Capitole)Bus : Lignes 31 (arrêt Arsenal), L4/L7/14/44 (arrêt Pont Neuf).Exposition à la Galerie de L’Imageriedu 16 au 30 septembreHoraires : tous les jours de 14h à 19h 33 bis Rue Arago 31500 ToulouseAccès : Métro Ligne A (arrêt Marengo SNCF) / Bus Lignes L9, 39 (arrêt Arago).Exposition à la Galerie Photondu 16 septembre au 28 novembreHoraires : du Lundi au Vendredi 9h - 19h. 8 Rue du Pont Montaudran, 31000 ToulouseAccès : Métro Ligne B (arrêt François Verdier) / Bus Lignes L1, L8 (arrêt Place Dupuy).Exposition aux jardins familiaux du Bazacle - CMCAS Toulousedu 19 septembre au 3 octobreHoraires : du Mercredi au Dimanche 14h - 18h. Impasse du ramier, 31000 ToulouseAccès : Metro B (arrêt Compans-Caffarelli)Bus : Lignes 31/45 (arrêt Amidonniers) L1/63 (arrêt Héracles).Lectures de portfolios à l’Espace Saint-Cyprienle samedi 19 et le dimanche 20 septembreHoraires : du Lundi au Vendredi 9h - 12h30 / 13h30 - 18h. 56, allées Charles-de-Fitte, 31300 ToulouseTel : 05 61 22 27 77Accès : Métro Ligne A (arrêt Saint-Cyprien-République)Bus : Lignes 13/14/31/45/66 (arrêt Saint-Cyprien-République).

Maxime Matthys, ancien étudiant en photographie, est en exposition avec sa série [Un]Innovation au Centre culturel Bellegarde à Toulouse du 17 septembre au 24 octobre 2020.Maxime Matthys est un artiste belge, né à Bruxelles en 1995. En 2015, il sort «Bachelor», diplômé de l’ETPA (Ecole de photographie et de game design), à Toulouse.Situé à la croisée de diverses pratiques, son travail interroge l’empreinte des nouvelles technologies sur notre mode de vie contemporain. Il utilise différents médiums ; la photographie, la vidéo, la performance, la sculpture et l’installation, pour produire des oeuvres où s’entremêlent le réel et le virtuel. Maxime Matthys collabore régulièrement avec des scientifiques pour déconstruire les mythes liés aux nouvelles technologies et, ainsi, imaginer de nouveaux langages.Depuis l’année dernière, je cherchais à collaborer avec l’Institut de recherche en informatique de Toulouse (IRIT), le plus grand laboratoire en recherche informatique de France. Cette année, Philippe Guionie, directeur du programme 1+2 Factory, m’a proposé une résidence de 4 mois à l’IRIT en partenariat avec le CNRS Occitanie OuestUne exposition produite par le programme de résidence 1+2 Factory. Ancrée à Toulouse, la Résidence 1+2 est un programme culturel de résidences photographiques à vocation européenne. Ce programme développe des projets sur le territoire en associant la photographie et les sciences.

Les étudiants de l'ETPA ont eu l'opportunité de rencontrer Caroline Bénichou, responsable de la Galerie VU’ à Paris.Pour la 3ème intervention du cycle annuel 2019-2020 « Les grands témoins de la photographie », Caroline Bénichou est venue à la rencontre des étudiants en formation Photographie afin de leur présenter son parcours, son métier de galeriste à la Galerie VU’ et son regard critique sur les multiples facettes et pratiques de la photographie contemporaine.Après plus de dix ans de collaboration avec l’éditeur Robert Delpire où elle a assuré la coordination éditoriale des ouvrages Delpire (Michael Ackerman, William Klein, Robert Capa,…) et d’une cinquantaine de titres de la collection « Photo Poche » ainsi que le suivi de conception et de réalisation de nombreuses expositions, Caroline Bénichou travaille comme éditrice free lance puis rejoint l’équipe de la Galerie VU’ en tant que galeriste en 2013.Caroline Bénichou est aussi l’auteure de plusieurs préfaces d’ouvrages de photographie (Mary Ellen Mark, Francesco Zizola, Marc Riboud,…).Cette conférence dont la modération était assurée par Philippe Guionie, enseignant en Cultures et Sémiologie de l’image, s'est déroulée à l'auditorium de l’école.

Suite de notre article sur le confinement !Nous nous tournons aujourd'hui vers les principaux concernés, professeurs et élèves se sont confiés dans une vidéo sur ces 9 dernières semaines d'enseignement !L'occasion de repenser la pédagogie, d'adapter la proximité au dématérialisé, Mp, video-conférences et partage d'écran ont été les armes des professeurs (et parfois des élèves qui sont devenus enseignants le temps d'un petit tuto d'initiation au début ! :) )Un confinement qui a donné pour beaucoup l'occassion de repenser leurs façons de travailler et de se découvrir à travers des projets de créations personnels.ETPA  School Must Go On ! Cliquez ici pour voir la vidéo

Le Gouvernement a arrêté la date du 11 mai 2020 pour le lancement de la première phase du plan de déconfinement progressif. Notre école est concernée, nous avons listé ci-dessous les questions posées par les étudiants et les parents, nous apportons une réponse pour chacune d'entre elles et ainsi éviter une seconde vague de propagation du virus COVID-19.Afin de vous offrir une meilleure lecture , nous avons classé vos questions liées au déconfinement et au retour à l'école par grands thèmes.SommaireOraux, examens et jurysMatériel et équipementReprise des cours et retour à l'écoleStages en entrepriseRentrée scolaire 2020/2021Oraux, examens et jurysLe jury de fin d'études est-il maintenu ?Oui, les jurys sont maintenus à ces dates :Jury Photographie le 10 septembreJury Game Design le 10 septembreDes ajustements sont possiblement à prévoir en fonction des contraintes sanitaires. Notez que nous ne sommes pas encore en mesure de lister celles-ci. Vous serez informés au fur et à mesure. Nous sommes à l'affut de l'évolution de la situation, nous travaillons déjà sur plusieurs organisations spécifiques compte tenu de possibles ajustements sanitaires.Est-il est nécessaire de revenir à l'école pour passer les oraux ? Sont-ils obligatoires?S'il est prévu que vos oraux se tiennent en juin en présentiel : la présence physique n'étant pas obligatoire, vous devez vous rapprocher de vos directions pédagogiques. En tout état de cause, si vous ne pouvez pas venir physiquement, vos oraux se tiendront à distance. Le passage des oraux étant indispensable pour valider l'année.Je suis confiné(e) chez mes parents, et dois me rendre à l'école pour les examens, mais c'est à plus de 100 kms : comment faire ?Une attestation de l'état a été créée, notamment pour ce cas : "Trajets entre le lieu de résidence et l’établissement scolaire effectué par une personne qui y est scolarisée ou en accompagnement d’une personne scolarisée et trajets nécessaires pour se rendre à des examens ou des concours". L'attestation officielle est accessible sur le site à l'adresse suivante : https://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Deconfinement-Declaration-de-deplacementImportant : merci de vous munir aussi d'un justificatif de domicile et de votre carte d'étudiant.Matériel et équipementLe matériel prêté par l'école (caméra et appareil photo notamment), l'est-il encore et dans quelles conditions, et jusqu'à quand ?Non, tous les protocoles sanitaires de l'Etat stipulent que les échanges de matériel, prêts, sorties de matériel sont à proscrire. Nous suivons donc ces directives, et ce, jusqu'à la levée des conditions sanitaires restrictives mises en place.Reprise des cours et retour à l'écoleJe souhaite rattraper le retard accumulé pendant ce confinement : les cours continueront-ils cet été ?Toutes les informations vous ont été communiquées par mail (étudiant + famille). Se référer à ce mail, car il y a des cas particuliers pour chaque classe et chaque formation.Est-il possible que je revienne travailler à l'école pour utiliser le matériel informatique pour m'avancer dans mon travail ?En l'état actuel des choses, nous ne sommes pas autorisés à valider la venue d'étudiants pour ce cas, au moins jusqu'au 2 juin. Nous avons prévu une organisation pour accueillir des étudiants à compter du 2 juin dans les conditions sanitaires imposées, mais cela sera soumis à la confirmation des autorités et de votre direction pédagogique.Si je devais revenir dans mon établissement pour terminer des travaux de fin de cycle : quelles seraient les mesures de protections mises en place ?Se référer à la question : "Quelles sont les conditions d'hygiène prévues pour notre retour en cours en présentiel ? "Mon école sera-t-elle ouverte en juillet pour que je puisse terminer une production avec mon équipe ?En l'état actuel des choses, nous ne sommes pas autorisés à valider la venue d'étudiants pour ce cas, au moins jusqu'au 2 juin. Nous avons prévu une organisation pour accueillir des étudiants à compter du 2 juin dans les conditions sanitaires imposées, mais cela sera soumis à la confirmation des autorités et de votre direction pédagogique.A partir de quand pouvons-nous récupérer nos travaux, nos maquettes ?En l'état actuel des choses, nous ne sommes pas autorisés à valider la venue d'étudiants pour ce cas, au moins jusqu'au 2 juin. Nous avons prévu une organisation pour accueillir des étudiants à compter du 2 juin dans les conditions sanitaires requises, mais cela sera soumis à la confirmation des autorités. En tout état de cause : rapprochez-vous de vos directions pédagogiques pour toutes demandes.Quelles sont les conditions d'hygiène prévues pour le retour des étudiants en présentiel ?La réalisation d’un marquage au sol, aux abords ainsi qu’à l’intérieur des établissements, afin de visualiser la distanciation physique nécessaire à respecter (1 m) ;La matérialisation d’un cheminement organisé au sein des établissements, dans le but de limiter au maximum les croisements et occasions de contacts entre les personnes évoluant sur le site ;Un rappel des mesures et gestes barrières par voie d’affichage et de communication orales quotidiennes ;L’adaptation des plannings d’enseignements sur sites ;Le jour de la venue à l’école pour l’oral, la fourniture de masques alternatifs en tissus de type I (adaptés à un usage en public), ainsi qu’une visière. L’étudiant devra conserver et entretenir ce matériel (avec notamment lavage régulier des masques et nettoyage des visières). Ce matériel devra être conservé en vue d’une éventuelle réutilisation lors de la prochaine rentrée ;La mise en place d’un contrôle de température quotidien réalisé au moyen de thermomètres sans contact. Tout cas de température anormalement élevée sera signalé à la personne concernée, qui sera immédiatement renvoyée chez elle avec recommandation de contacter un médecin ;Au-delà de l’entretien quotidien réalisé au sein de nos écoles qui demeure bien entendu maintenu, un protocole de désinfection spécifique est mis en place. Celui-ci prévoit :L’équipement au sein de nos bâtiments de distributeurs équipés de solutions hydroalcooliques et de savon, en libre accès ;Un renforcement du nettoyage des sanitaires et des points de contacts (de type rampes, poignées de portes, interrupteurs) toutes les 2 heures, par un personnel dédié, avec fiche de suivi des vacations effectuées ;Une désinfection par nébulisation, a minima 1 fois par jour, des salles de classe et des parties communes réalisée des professionnels de la désinfection.Stages en entrepriseLes stages sont-ils supprimés ? Sont-ils obligatoires ?Les stages ne sont pas supprimés. Cependant ils s'effectuent, s'ils sont possibles. Si vous avez la possibilité de le faire, et cela est dépendant de votre entreprise d'accueil. La situation sanitaire étant complexe, nous comprenons que tous les étudiants ne seront pas en mesure de trouver un stage dans ces conditions. Si vous effectuez un stage plus court, ou si vous n'en effectuez pas, cela n'empêchera pas la validation de votre diplôme.Mon stage est annulé par l'entreprise : cela me pénalisera-t-il ?Se référer à la question "Les stages sont-ils supprimés ? Sont-ils obligatoires ?"Rentrée scolaire 2020/2021Les rentrées scolaires auront-elles toujours lieu en septembre comme initialement prévu ?En l'état actuel des choses, nous ne sommes pas autorisés à valider la venue d'étudiants pour ce cas, au moins jusqu'au 2 juin. Nous avons prévu une organisation pour accueillir des étudiants à compter du 2 juin dans les conditions sanitaires imposées, mais cela sera soumis à la confirmation des autorités et de votre direction pédagogique.Pour Montpellier : est-ce que la rentrée se fera sur le site du Campus Créatif en septembre 2020 ?La rentrée de 2020/2021 se fera sur le Campus Créatif. La date de rentrée sera donnée ultérieurement par les services pédagogiques, si l'évolution de la situation sanitaire le permet.Allons-nous rentrer plus tôt à la rentrée scolaire de septembre ? (début septembre)En l'état actuel de la situation, nous sommes en train d'organiser la rentrée prochaine. Il est probable que pour certaines sections une rentrée puisse être anticipée pour le rattrapage de certains cours. Cependant nous ne sommes pas en mesure de répondre de manière générale à cette question. Il vous faudra vous rapprocher de votre service pédagogique au mois de juin.