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[ALUMNI] Lucas Frayssinet et Ophélie Giralt, dans l’émission “Échappées Belles”.

2022-11-16

Ce samedi 19 novembre, aura lieu la diffusion de l’émission “Échappées Belles” sur France 5 à 20h55.Deux de nos anciens étudiants, Lucas FRAYSSINET, Ophélie GIRALT sont partis pendant de longs mois sur les îles Féroes. Jérôme PITORIN (journaliste, réalisateur et animateur de télévision) de l'équipe d'Arté les a rejoints pour découvrir l'archipel de 18 îles, sur les Îles Féroé, qui constituent un pays constitutif du Danemark.BoutonLors de l’émission, ils parleront de leurs projets photographiques, iront visiter la capitale Tórshavn qui se situe sur l’île principale Streymoy. Nous les verrons tenir une dégustation de spécialités locales et ensuite, ils réaliseront une photo à la chambre photographique avec les enfants de la classe de la ville de Toftir. En effet, Ophélie et Lucas ont travaillé lors de la dernière année scolaire sur les mythes et les légendes avec cette classe de CM1. Ils ont réalisé différentes photographies avec les enfants en les mettant en scène avec des costumes. En voici la vidéo "backstage" :Lucas FRAYSSINET et Ophélie GIRALT Lucas, originaire d’Agen, a débuté la photographie grâce à son père également passionné. Il est donc allé suivre la formation BTS Photographie de l'ETPA et a continué avec la 3ème année d'Approfondissement. Lucas développe son activité de photographe, il crée en continu et navigue entre ses projets de portraits, et ses reportages, en France comme à l'étranger.  En 2020, il fut Lauréat de la Jeune Photographie Occitanie. En février 2021, il fait parti de l'Agence de photographes Hans Lucas. Son travail est axé sur l'humain ainsi que sur les problématiques sociales et environnementales.Ophélie est originaire du Nord-Est de la France. A 21 ans, elle intègre l'ETPA à Toulouse afin de poursuivre ses études pour obtenir une licence en photographie. En deuxième année de ses études, elle participe au campus international des Promenades Photographiques de Vendôme et obtiendra sa licence avec mention spéciale du jury pour le Grand Prix de septembre 2020.Elle s’oriente vers une photographie en rapport à l'enfance en explorant les fragments de ses souvenirs passés. Elle met un accent pour la mise en scène et le portrait. Leur Instagram :Lucas Frayssinet ; Ophélie Giralt(Crédits photo portrait : La Dépêche )

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[ALUMNI] Tao Douay lauréat du Prix LNP

2022-11-05

Les 4 et 5 novembre dernier a eu lieu à Paris le Festival Les Nuits Photo. Cet événement, créé en 2012, mais qui existe sous cette forme depuis seulement 2021, s’est tenu conjointement à L’Entrepôt (14e arrondissement) et à la Bibliothèque François Villon (10e arrondissement), et a rassemblé près d’un millier de personnes, venues découvrir les œuvres proposées par les candidats de cette édition 2022.Le Festival Les Nuits Photo met à l’honneur le film photographique, forme hybride qui offre aux photographes de nouveaux champs d’expression, que l'événement vient recomposer chaque année du Grand Prix LNP. Pour cette édition 2022, les organisateurs ont reçu pas moins de 96 projets, proposés par des artistes venus de France, de Belgique, d’Espagne, d’Allemagne, mais aussi d'Argentine, du Canada, du Sri Lanka, du Maroc et de Turquie.Chaos ou l’omniprésence de la mortEt c'est un ancien étudiant de l’ETPA, Tao Douay, qui a remporté le Grand Prix LNP. Une récompense attribuée pour son film Chaos dans lequel l'artiste, qui a remporté le Grand Prix Photo de l’ETPA en 2012, met en mouvement des photographies en noir & blanc, sur lesquelles il superpose des illustrations macabres, qui viennent rappeler au spectateur la fragilité de notre humanité, face à laquelle les hommes - de tous temps et de tous âges - sont tous égaux. "Nous venons au monde en sursis, explique Tao Douay, mais la mort est si terrifiante que nous feignons de l’ignorer. Pourtant, lorsqu’un·e proche s’en va, la gravité de notre condition nous rattrape". Une mort certaine donc, que l'on tente d'oublier, de repousser, mais qui est en nous à chaque instant, comme le rappelle ce travail, certes sombre, mais empreint d'une grande sincérité.Des talents au révélateurEn remportant le prix LNP, Tao Douay se voit octroyer une dotation de 1000€ par la SAIF. Aussi, son travail sera diffusé sur les médias partenaires du festival (9 Lives Magazine et Fisheye Magazine), ainsi que dans le cadre des Promenades Photographiques de Blois et des Nuits Photographiques de Pierrevert.Cette édition du festival Les Nuits Photo a été l'occasion de mettre en lumière d'autres jeunes talents. On peut notamment citer Julien Athonady et Thibault Le Marec, lauréats du prix Diapéro 2022 avec leur film Cape ou pas Cape ?, ou encore Salomé Hévin, qui a remporté le prix de la Cassette 2022 avec son film Des frères.© Tao Douay, Lauréat du GRAND PRIX LNP 2022 avec CHAOS 

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3e édition de la Résidence 1+2

08 octobre 2018

Chaque année, la Résidence 1+2 Toulouse « Photographie & Sciences », dirigée par Philippe Guionie, rassemble trois photographes : 1 photographe de renom et 2 jeunes photographes. Durant les deux mois de résidence, en liens étroits avec un patrimoine scientifique exceptionnel présent à Toulouse et en région Occitanie, les trois artistes posent leurs regards d’auteur et produisent une création artistique inédite en partageant leurs savoirs respectifs. Pour cette troisième édition, la quête d’une origine manquante relie les travaux des trois artistes résidents : SMITH, artiste de renommée internationale, Camille Carbonaro et Prune Phi. Sous la forme d’une enquête photographique, elles explorent la part introuvable de leur identité, localisée dans le cosmos, les migrations italiennes ou la diaspora vietnamienne. Soutenues dans leurs recherches par des institutions scientifiques, les artistes travaillent auprès d’astrophysicien(ne)s, neuroscientifiques, historien(ne)s ou psychologues basées à Toulouse et sa métropole ainsi qu’en Occitanie. Pour cette édition, l’artiste américain Noé Cuellar (Nestor), a réalisé un documentaire-fiction sur les trajectoires convergentes de leurs recherches respectives. L’astronaute français, Jean-François Clervoy accompagne les artistes en tant que parrain 2018. Vernissage le vendredi 12 octobre à 18h30 à la galerie Barrès Rivet (1 place Saintes Scarbes - Toulouse).    Présentation de l’exposition, du coffret des trois ouvrages, et des événements, en présence des artistes, de Philippe Guionie (directeur de la Résidence 1+2) et du parrain de cette nouvelle édition, l’astronaute français, Monsieur Jean-François Clervoy.

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Loupedeck, le terminal de retouche rêvé des photographes numériques

04 octobre 2018

Si l’on a déjà vu passer de nombreuses initiatives visant à créer des périphériques censés faciliter les interactions avec des logiciels créatifs, peu de projets se sont réellement imposés jusque-là chez les créateurs, ou alors dans des cadres d’utilisations très spécifiques (souris 3d pour la CAO, consoles d’étalonnage…). En 2016, le photographe Finlandais Mikko Kesti s’est lancé dans un étonnant projet à travers une campagne de financement participatif sur la plate-forme Indiegogo. Son idée consistait à concevoir un clavier spécialement destiné à la retouche photo, ou plus généralement à la manipulation de contenus créatifs. Avec un important succès au rendez-vous grâce à un financement cinq fois supérieur à celui espéré, l’équipe a vite évolué et s’est notamment vu rejoindre par des développeurs et des ingénieurs issus de grandes firmes comme Nokia ou Microsoft. Après de longs mois d’attente, le Loupedeck a enfin vu le jour il y a quelques mois. Avec un design élégant et un savant mélange de boutons, de variateurs, de potentiomètre, le Loupedeck à la vocation de vous assister dans la gestion et la retouche de vos photos ; il se veut même capable de remplacer totalement votre couple clavier/souris. Jusque-là essentiellement compatibles avec Adobe Lightroom, ses créateurs viennent d’annoncer une optimisation pour son homologue dédié au montage vidéo Adobe Premiere, et ce n’est sans doute que le début d’une longue liste de logiciels bientôt compatibles. N’hésitez pas à y regarder de plus près. https://loupedeck.com/

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Des anciens étudiants de l'ETPA exposent à la MID !

26 septembre 2018

Les photographes ouvrent la saison des expositions du 5 octobre 2018 au 12 janvier 2019 à la MID. Parallèlement, une projection photographique sur le thème de la famille viendra compléter cette exposition dont les sujets sont proposés par 12 anciens étudiants de l’ETPA. « Ce qui nous lie »L’association CéTàVOIR ouvre les portes de la Maison de l’Image Documentaire avec sa nouvelle saison culturelle 2018 – 2019 sur le thème de la famille : « Ce qui nous lie ». Réalisée en partenariat avec l’ETPA, cette exposition met en lumière le travail d’Ida Jakob et celui de Mélody Garreau. Leurs séries respectives parlent toutes 2 de la famille et seront mises à l’honneur pour ces expositions de la rentrée.   Mention spéciale du Grand Prix photo ETPA 2014, Ida Jakobs expose sa série « La Vie devant soi » : « Une famille de femmes : ma grand-mère, sa sœur, ma mère et moi. Un petit théâtre. Un jeu, qui parfois n’est pas si drôle. Des histoires de famille. La maternité. La mort. L’oubli. L’enfant que je suis. La figure de la mère. De mère en fille et puis aussi la perte. L’absence. La douleur. Retrouver par un geste une identité. Une genèse. Régresser, transgresser, aller à l’essence. Passer de la réalité à la fiction pour inventer une mythologie familiale, à l’instar de mes influences, de Garcia Marquez à Guibert. ».Mélody Garreau obtient le Grand Prix photo ETPA en 2017. Partie intégrante de l’exposition de la rentrée, sa série « L’innocence ternie » est un hymne à sa sœur Chloé. « À dix-sept ans, la quête de sa propre identité se révèle être un combat. Une recherche à prendre possession de son propre corps. En cherchant ses appuis qui lui permettront son envol, Chloé replonge dans l’absence d’un père et le manque d’une vie de famille. Cela donne un air délicat de déjà vu à notre mère, qui y voit le reflet de son propre abandon. Depuis toujours, Chloé et notre mère ont entretenu une relation complexe, fusionnelle et exclusive. Un lien indéfectible les unit et cela ne va pas sans heurts. Embarquées dans une période d’une violence émotionnelle, disputes et réconciliations rythment leur quotidien.Depuis que j’ai traversé la Manche, ma voix trouve son écho et mon regard sa juste distance. Je donne à voir ces quelques photographies comme les pièces éparses d’un puzzle complexe ».      12 autres anciens étudiants mis en lumièreToujours dans le cadre des expositions de la rentrée qui se tiendront à la MID, une projection photographique viendra compléter l’exposition « Ce qui nous lie ». Ce n’est pas moins de 12 sujets sur les thèmes de la famille réalisés par les anciens étudiants de l’ETPA. Tous ont suivi cursus de l’école : Lola Bacha, Megane Bellin, Arnaud Chochon, Maud Dhillit ; Tao Douay, Alisson Julien, Chloé Michelot, Alexandre Ollier, Anaïs Ondet, Ines Pouyanne, Mathilde Ulin et Alexis Vettoretti verront leur travail projeté.

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Les résultats du prestigieux concours de photographie EISA MAESTRO 2018

14 septembre 2018

Depuis 1982, l’association EISA (European Imaging and Sound Association) regroupe plusieurs dizaines de magazines européens spécialisés dans les nouvelles technologies (électronique, Hifi, informatique, photographie, vidéo, son, mobile, etc.) et fédère ainsi des centaines de professionnels. L’association permet des échanges et des collaborations éditoriales multiples entre spécialistes et à travers nombreuses disciplines qu’elle regroupe. Parmi ses multiples activités, on la connaît notamment pour ses Awards technologiques visant à valoriser le meilleur du matériel sorti dans l’année écoulée pour chaque catégorie représentée, mais elle se distingue également par son concours photo Maestro, qui récompense chaque année l’audace et le talent de trois photographes. Pour son édition 2018, c’est le photographe animalier hongrois Bence Mate qui remporte le premier prix avec une superbe série d’animaux capturée à contre-jour sur fond de coucher de soleil chaleureux en plein cœur de la savane africaine. Suivent ensuite le photographe polonais Dariusz Bruhnke et son étonnante série de paysages nordiques surplombés d’aurores boréales, suivis par Alfonson J. Exposito Diaz Alvarez, qui propose une collection de clichés de faune sous-marine allant de la mer d’Égypte en passant par les Bahamas, l’Indonésie ou encore la Guadeloupe. Afin d’en savoir plus sur l’EISA et sur les travaux des trois gagnants de l’année, rendez-vous sur le site officiel de l’association : https://www.eisa.eu/maestro/

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Margot Pivot, Grand Prix Photo ETPA 2018 expose à ManifestO

13 septembre 2018

MR APPOLON   La série « Mr Appollon » sera exposée au laboratoire Photon de Toulouse du 13 sptembre au 11 décembre 2018."Cette série parle d’un homme que j’ai rencontré durant l’été 2017 un vieux garçon, comme on dit dans ce coin d'Auvergne. Appolon est son vrai nom mais tout le monde l'appelle Bénito. Je n’ai jamais su pourquoi on le surnommait comme cela, il ne le sait pas non plus. De par sa réputation j’avais déjà beaucoup entendu parler de lui. Lorsque je suis arrivée chez lui, je me suis rendue compte qu’il me connaissait déjà très bien puisqu’il m’a donné ma date de naissance. J’ai donc à mon tour souhaité m’intéresser à lui. Cela n’a pas été simple au début car il ne souhaitait pas que je rentre dans sa maison ; puis petit à petit, il a su me faire confiance et il m’a laissé entrer dans sa vie privée. Suite à la perte de ses parents, Alain a décidé de garder la maison familiale et les animaux qu’ils élevaient ensemble. Le ménage n’est pas son fort. Submergé sous les tâches, il essaye de mener tant bien que mal sa petite vie d’éleveur. Cet homme aime les gens. Il s’intéresse à tout, il est heureux de vivre de pas grand chose: « Si j’avais le choix, je ne vivrais surement pas autrement ». Bénito est surtout un homme affable et généreux, parfois moqué dans le village pour sa marginalité mais apprécié pour ses fromages qu'il va vendre aux alentours dans sa 2 CV si reconnaissable.Difficile de lui donner un âge, il parait avoir 70 ans comme 25 selon les jours, sa manière de se comporter, s’exprimer. Un grand enfant, qui par sa petite vie solitaire m’a appris de grandes choses. Pour commencer, se contenter de peu pour pouvoir vivre mieux. Je vais donc poursuivre ce projet".Vernissage au laboratoire Photon le jeudi 13 septembre 2018 à 18h30ALLER RETOUR  Cette série est exposée sur le site principal du festival ManifestO place Saint Pierre à Toulouse du 14 au 29 septembre 2018."J’ai débuté le projet sur mon village d’enfance en 2ème année à l’ETPA. Puis j’ai souhaité le recommencer en 3ème année.  Pour cela, j’ai donc modifié ma manière de travailler, j’ai modifié ma focale de travail et j’ai opté pour le 35mm plutôt que le 50mm et ma vision a changé. Le titre de ma série est à l’origine des allers retours entre Toulouse et chez moi (petite campagne au nord ouest de Lyon) que j’ai effectué pour réaliser au mieux ce projet. Concernant les paysages, ma position était assez instinctive, la distance que je prenais était pour moi, la bonne. Pour mes portraits ça n’a pas été aussi simple, j’ai longtemps réfléchi à quelle distance prendre, quelles attitudes je recherchais. J’ai choisi un point de vue assez large pour montrer au maximum le contexte de la prise de vue, car pour moi, il est important de montrer qu’en campagne, les habitants sont entourés de végétation. L’approche documentaire a nécessité le besoin de m’arrêter, de passer du temps à regarder autour de moi mais aussi de voir le temps passer et de me rendre compte qu’il y a toujours les mêmes rituels ; les choses restent ancrées dans les moeurs, tout est intact. Ce travail photographique vise en quelque sorte à arrêter, bloquer un instant qui m’a marqué et qui perdure encore. J’ai toujours souhaité partir de mon village, non pas parce que je ne m’y sentais pas bien mais plutôt pour avoir la possibilité d’y retourner de temps à autre et d’espérer que rien ne change. Choisir ce sujet m’a permis de rendre hommage à cet endroit, aux personnes qui me sont chères. Mon but : montrer une vision anecdotique de mon village d’enfance à partir de ce que l’on m’a appris, raconté, ce dont je me suis servit pour me construire moi même. Chaque photo se fait narratrice d’une histoire vécue dans ce village".Egalement Nahia Garat, ancienne étudiante à l'ETPA, exposera son travail dans le cadre du festival place Saint Pierre à Toulouse. Nahia a aussi été sélectionnée au Prix des Zooms photographiques 2018 qui récompense chaque année 2 auteurs parmi une dizaine de photographes émergents.

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Des jeunes diplômés en photographie de l'ETPA exposent !

11 septembre 2018

Louis Clerc et Pauline Schneeberger, tous deux praticiens photographes, collaborent et montent leur première exposition. Ils ont réalisé le même cursus et sont issus de la promotion 2018 et sortent juste de l'école.Louis nous confie : "2 mois après L’ETPA, nous voilà avec notre première exposition pour établir notre statut de photographe, un point de départ. L’exposition est réalisée dans le cadre d'une aide à la création et à la diffusion dans les domaines des arts plastiques de la ville de Bagnols sur Cèze dans le Gard (ma ville de naissance).    Le thème de l’exposition est l’être humain. Nous nous sommes demandé qu’est-ce que c’est qu’"être"? Comment sommes nous ?  Cette recherche a deux axes ; le corps et l’esprit. Ces deux points sont pour nous ce qui constitue un être humain.    Nous cherchons à nous établir et à "être". Voilà de quoi découle cette exposition. Une exposition personnelle pour mieux nous connaitre nous-même.   Ce qui m'anime c'est le concept de la photographie. Notre temps est la chose la plus précieuse au monde.  La photographie permet de capter ce temps, cet instant quel que soit sa durée et de la rendre en image sur un papier.  Pour Pauline, Je pense que la relation humaine joue un grand rôle dans sa manière d’être attaché à la photographie ; même si cette exposition est de la photographie dite « plastique ».   Actuellement nous dirigeons notre propre exposition, de la communication, des tirages, en passant par la scénographie jusqu'à l’accrochage final, toute la direction artistique en somme.  Nous établissons le nom de notre collectif « Le grain ». La suite reste encore à définir".Pour suivre l'actualité de Louis Clerc et de Pauline Schneeberger :Istagram Louis  LivoncebeforetheendInstagram Pauline  pylooldntl_paulineschneeberger Site Pauline  www.paulineschneeberger.com

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Du nouveau chez Nikon !

10 septembre 2018

Depuis quelques années, le marché de la photo numérique s’est vu peu à peu chamboulé par l’arrivée d’une nouvelle génération de boîtiers dits «hybrides», proposant un savant mélange du meilleur des appareils numériques et des reflex. Sony a ainsi tapé très fort avec sa gamme d’appareils 24*36 baptisés gamme « Alpha ». En plus de proposer une nouvelle monture d’optiques censée profiter des avantages de son capteur, les Sony Alpha étaient les seuls à proposer jusque-là un capteur à stabilisation motorisée, et de surcroît rétroéclairée, assurant ainsi des prises de vue optimales, même en condition de très faible lumière. Les ténors du domaine que sont Canon et Nikon n’ont pas forcément vu le vent tourner, mais après un long délai de réflexion, ils profitent enfin des salons photos de cette rentrée 2018 pour se mettre à niveau et présenter leurs propres boîtiers hybrides au format 24*36, laissant présager un virage évident vers un nouveau standard à venir. C’est donc à Nikon d’ouvrir le bal avec deux nouveaux boîtiers annoncés il y a seulement quelques jours avec les modèles Z6 et Z7, respectivement dotés d’un capteur CMOS 24x36 rétroéclairé de 24.5 Mpx pour le premier, et de 45,7 Mpx le second. Afin de rester dans la compétition, tous deux profitent enfin d’une stabilisation motorisée et d’un capteur rétroéclairé.  Bonne nouvelle pour les vidéastes, ils seront aussi capables de filmer en 4K à 60 images/secondes et Nikon en profitera également pour dévoiler de nouveaux objectifs répondant à sa nouvelle monture « Z » créée pour l’occasion. Très prochainement disponibles, nous ne manquerons pas de revenir sur les performances de ces deux nouveaux modèles.

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Le design abstrait du Studio Spass à Rotterdam

Le design abstrait du Studio Spass à Rotterdam

21 août 2018

Installé à Rotterdam, le Studio Spass est une agence multidisciplinaire fondée en 2008 par Jaron Korvinus et Daan Mens. L’équipe du studio travaille à la fois sur des projets d’impression, de création web et d’aménagement de design d’espace, mais aussi sur des projets d’animation et de photographie. Dans un style conceptuel novateur, l’équipe prend systématiquement soin d’élaborer des idées originales tout en restant très rigoureuse sur l’exécution et les finitions de toutes les prestations sur lesquelles elle intervient. Par exemple, leur projet intitulé « Unusual Volume » (volume inhabituel) répond à un concept d’intérieur de salon de bureau pour le Centre d’Innovation de Cambridge. L’exercice consistait à interpréter une jungle urbaine de manière contemporaine. Le salon se retrouve ainsi rempli de sculptures à la fois abstraites et fonctionnelles, de couleurs primaires très vives, en majorité du bleu et du jaune, qui viennent se greffer au mobilier déjà existant. L’inspiration du studio Spass vient notamment d’une citation de Roberto Burle Marx : « Un jardin est un complexe d’intentions esthétiques et plastiques ; et la plante est, pour un paysagiste, non seulement une plante rare, insolite, ordinaire ou vouée à disparaître mais c’est aussi une couleur, une forme, un volume ou une arabesque en soi ». En vous laissant méditer sur cette approche, vous pouvez visiter leur site et leur page Instagram pour en savoir plus sur leurs réalisations.

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Nathan Colantonio.

Les photographies surréalistes de Nathan Colantonio.

20 juillet 2018

Basé à Toronto au Canada, le photographe Nathan Colantonio (aka « Modifeye ») fabrique des montages surréalistes à l’aide de différentes photographies qu’il prend lui-même et qu’il retravaille numériquement. Par exemple il explique dans une vidéo YouTube la manière dont il a réalisé son image intitulée « Break Free ». On peut découvrir sur celle-ci un grillage métallique en premier plan, derrière lequel on perçoit un magnifique lever de soleil sur une plage thaïlandaise. Le grillage découpé à un endroit perd de petits morceaux qui s’envolent vers l’horizon, se transformant alors en silhouettes d’oiseaux. Il a lui-même acheté du grillage qu’il a ensuite découpé et « sculpté » à son envie, avant d’en faire un cliché. Puis arrive le montage sur ordinateur dans lequel il a simplement détouré le grillage pour enfin le placer par-dessus le paysage thaïlandais. Il confie que dans ce type d’exercice, le travail de la cohérence entre la lumière et les couleurs peut s’avérer fastidieux, mais le résultat est bien là. Dotées d’une dimension quasi surréaliste, ses images fusionnent ainsi des paysages de nature avec des objets industriels fabriqués par l’homme. Nathan Colantonio explique qu’il adore faire de la photo, mais il aime encore plus les transformer pour en faire quelque chose d’unique et de spécial. C’est sa manière de poser un regard différent sur le monde qui nous entoure.

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Unsung song of city de Gilles Roudière

"Unsung song of city" de Gilles Roudière

19 juillet 2018

Comment êtes-vous devenu photographe ? Ma vie personnelle m’a amené à faire un changement professionnel. J’ai toujours pratiqué la photographie et après des rencontres avec des photographes, j’ai décidé de me former et d’en faire mon métier. J’ai fait un 1er voyage en Moldavie qui a été très formateur pour moi. J’ai découvert ce que c’était que de se concentrer sur un projet photographique, de faire de la photographie une véritable obsession en un temps donné, de ne penser à rien d’autre, de quitter son quotidien, de quitter ses amis… de ne faire que ça véritablement. Quelques années plus tard j’ai travaillé avec d’autres photographes en Albanie. Il y avait une émulation et une stimulation entre nous. Et de fil en aiguille il y a eu d’autres voyages. Ce sont tous ces épisodes qui ont été formateurs et révélateurs. C’est là qu’est née l’écriture photographique que j’utilise aujourd’hui avec des contrastes très forts qui viennent de ce soleil vertical puissant et permanent. Les noirs envahissant la photographie les détails disparaissent. Une vision des choses la plus simple, la plus directe et la plus personnelle possible.   Quelles sont vos influences ? J’ai été influencé par la démarche de photographes voyageurs. Également par les photographes japonais de l’après-guerre qui m’ont vraiment inspiré dans leur radicalité. J’ai trouvé leur démarche frappante et très inspirante. J’ai l’impression de me trouver à mi-chemin entre cette photographie Japonaise très forte en contrastes et une photographie européenne à l’image de Paulo Nozolino ou Klavdij Sluban qui sont plus en douceur plus dans la poésie. Je crois que chacun avec sa personnalité et son cœur se fraye un chemin.   Pour vous, qu’est-ce une série photographique réussie ? Pour moi il doit y avoir une variété d’images et une forme de cohérence. Ce sont des éléments clés dans lesquels on retrouve l’identité du photographe.Quel est votre rapport aux promenades ? J’ai été exposé en 2012 dans le cadre du projet collectif que j’ai fait en Albanie. Une belle expérience qu’Odile Andrieux m’a fait l’honneur de renouveler en me recevant une 2e fois avec 2 autres photographes. C’est avec beaucoup d’enthousiasme que je reviens ici.   Pouvez-vous nous parler de vos séries exposées ici ? Dans la salle d’exposition on trouve une vitrine qui réunit les travaux de Philippe, Tibi et de moi-même qui ont été réalisée à Istambul (de2013 à 2105). C’est le point de départ. Odile nous a donné une carte blanche pour l’exposition et nous avons décidé de nous réunir dans la vitrine pour expliquer quelle était l’origine de notre collectif. Sur les murs il s’agit du mélange d’association d’images de séries différentes : des images d’Istambul, des images d’Albanie (plus anciennes), des images de Berlin, d’Europe de l’Est, d’Israël. C’était un exercice extrêmement intéressant pour moi car j’ai toujours eu la volonté de mélanger les séries de sortir du cadre géographique et de conserver uniquement un lien personnel et d’écriture dans ces images. Un lien narratif qui dépasse les frontières.       Que pensez-vous du choix de présentation des travaux de fin d’année des écoles de photo ? Je trouve le résultat admirable par rapport à ce que j’ai perçu du projet et du temps imparti aux étudiants pour le réaliser ; la forme et la présentation sont vraiment réussies. Sur la face principale du mur, au centre, il y a une photo grand format qui invite à se rapprocher du mur. La présentation est à la fois très ordonnée et en même temps un peu libre avec une forme d’art de rue. Je trouve cela intéressant de mélanger des gens de différentes écoles, qui ne se connaissent pas pour traiter des sujets. Le résultat est cohérent.   Vous avez beaucoup voyagé, pourquoi avoir choisi Berlin comme point d’ancrage ? Cette ville m’offrait la possibilité de me concentrer sur mes activités photographiques. C’est une situation géographique (proche de l’Europe de l’Est) quasi idéale pour moi par rapport à me sujets."Unsung song of city" de Gilles Roudière aux Promenades Photographiques de Vendôme jusqu'au 2 spetembre 2018.   

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