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[ALUMNI] Lucas Frayssinet et Ophélie Giralt, dans l’émission “Échappées Belles”.

2022-11-16

Ce samedi 19 novembre, aura lieu la diffusion de l’émission “Échappées Belles” sur France 5 à 20h55.Deux de nos anciens étudiants, Lucas FRAYSSINET, Ophélie GIRALT sont partis pendant de longs mois sur les îles Féroes. Jérôme PITORIN (journaliste, réalisateur et animateur de télévision) de l'équipe d'Arté les a rejoints pour découvrir l'archipel de 18 îles, sur les Îles Féroé, qui constituent un pays constitutif du Danemark.BoutonLors de l’émission, ils parleront de leurs projets photographiques, iront visiter la capitale Tórshavn qui se situe sur l’île principale Streymoy. Nous les verrons tenir une dégustation de spécialités locales et ensuite, ils réaliseront une photo à la chambre photographique avec les enfants de la classe de la ville de Toftir. En effet, Ophélie et Lucas ont travaillé lors de la dernière année scolaire sur les mythes et les légendes avec cette classe de CM1. Ils ont réalisé différentes photographies avec les enfants en les mettant en scène avec des costumes. En voici la vidéo "backstage" :Lucas FRAYSSINET et Ophélie GIRALT Lucas, originaire d’Agen, a débuté la photographie grâce à son père également passionné. Il est donc allé suivre la formation BTS Photographie de l'ETPA et a continué avec la 3ème année d'Approfondissement. Lucas développe son activité de photographe, il crée en continu et navigue entre ses projets de portraits, et ses reportages, en France comme à l'étranger.  En 2020, il fut Lauréat de la Jeune Photographie Occitanie. En février 2021, il fait parti de l'Agence de photographes Hans Lucas. Son travail est axé sur l'humain ainsi que sur les problématiques sociales et environnementales.Ophélie est originaire du Nord-Est de la France. A 21 ans, elle intègre l'ETPA à Toulouse afin de poursuivre ses études pour obtenir une licence en photographie. En deuxième année de ses études, elle participe au campus international des Promenades Photographiques de Vendôme et obtiendra sa licence avec mention spéciale du jury pour le Grand Prix de septembre 2020.Elle s’oriente vers une photographie en rapport à l'enfance en explorant les fragments de ses souvenirs passés. Elle met un accent pour la mise en scène et le portrait. Leur Instagram :Lucas Frayssinet ; Ophélie Giralt(Crédits photo portrait : La Dépêche )

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[ALUMNI] Tao Douay lauréat du Prix LNP

2022-11-05

Les 4 et 5 novembre dernier a eu lieu à Paris le Festival Les Nuits Photo. Cet événement, créé en 2012, mais qui existe sous cette forme depuis seulement 2021, s’est tenu conjointement à L’Entrepôt (14e arrondissement) et à la Bibliothèque François Villon (10e arrondissement), et a rassemblé près d’un millier de personnes, venues découvrir les œuvres proposées par les candidats de cette édition 2022.Le Festival Les Nuits Photo met à l’honneur le film photographique, forme hybride qui offre aux photographes de nouveaux champs d’expression, que l'événement vient recomposer chaque année du Grand Prix LNP. Pour cette édition 2022, les organisateurs ont reçu pas moins de 96 projets, proposés par des artistes venus de France, de Belgique, d’Espagne, d’Allemagne, mais aussi d'Argentine, du Canada, du Sri Lanka, du Maroc et de Turquie.Chaos ou l’omniprésence de la mortEt c'est un ancien étudiant de l’ETPA, Tao Douay, qui a remporté le Grand Prix LNP. Une récompense attribuée pour son film Chaos dans lequel l'artiste, qui a remporté le Grand Prix Photo de l’ETPA en 2012, met en mouvement des photographies en noir & blanc, sur lesquelles il superpose des illustrations macabres, qui viennent rappeler au spectateur la fragilité de notre humanité, face à laquelle les hommes - de tous temps et de tous âges - sont tous égaux. "Nous venons au monde en sursis, explique Tao Douay, mais la mort est si terrifiante que nous feignons de l’ignorer. Pourtant, lorsqu’un·e proche s’en va, la gravité de notre condition nous rattrape". Une mort certaine donc, que l'on tente d'oublier, de repousser, mais qui est en nous à chaque instant, comme le rappelle ce travail, certes sombre, mais empreint d'une grande sincérité.Des talents au révélateurEn remportant le prix LNP, Tao Douay se voit octroyer une dotation de 1000€ par la SAIF. Aussi, son travail sera diffusé sur les médias partenaires du festival (9 Lives Magazine et Fisheye Magazine), ainsi que dans le cadre des Promenades Photographiques de Blois et des Nuits Photographiques de Pierrevert.Cette édition du festival Les Nuits Photo a été l'occasion de mettre en lumière d'autres jeunes talents. On peut notamment citer Julien Athonady et Thibault Le Marec, lauréats du prix Diapéro 2022 avec leur film Cape ou pas Cape ?, ou encore Salomé Hévin, qui a remporté le prix de la Cassette 2022 avec son film Des frères.© Tao Douay, Lauréat du GRAND PRIX LNP 2022 avec CHAOS 

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stephen mcmennamy

Stephen McMennamy créé des visuels surréalistes !

11 juillet 2017

Le photographe américain Stephen McMennamy prend un malin plaisir à associer des images existantes pour en créer de nouvelles. Il se base toujours sur deux photographies qui n’ont aucun rapport direct, mais dans lesquelles il finit par trouver de judicieuses complémentarités graphiques. Jouant avec les échelles, les résultats produits sont souvent surréalistes et pleins d’humour. Stephen McMennamy vit et travaille à Atlanta où il officie également en tant que directeur artistique. C’est en 2012 qu’il découvre Instagram et se passionne alors très vite pour la photographie. Sans même utiliser Photoshop, il réalise des clichés en double exposition et développe ainsi une grammaire graphique qui trouble la perception. Pour apprécier pleinement son travail, il faut d’ailleurs s’y prendre à plusieurs fois et prendre le temps de contempler les images. À travers une démarche simple et spontanée, il passe son temps à observer le monde à la recherche de petits détails susceptibles de lui inspirer de nouvelles idées et d’éléments à combiner. Cela ne l’empêche pas pour autant d’avoir aussi des idées de montages très précis en se donnant les moyens de les réaliser. Parfois l’image finale s’obtient très rapidement, le temps d’un déjeuner, parfois cela peut lui prendre 3 semaines… Les aléas de la création comme diraient certains. Un artiste plein d'audace à découvrir sur Instagram.

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jeanne menetrier renouer avec moi

Jeanne Ménétrier à la Maison Européenne de la Photographie

09 juin 2017

Nous vous avions déjà parlé de cette ancienne étudiante en Photographie à l'ETPA qui a donné une nouvelle vision au genre.Aujourd'hui, c'est dans le cadre des coups de coeur de Sylvie Hugues à la Maison Européenne de la Photographie, que sa série "Renouer avec moi" sera projetée, le 15 juin à partir de 18h15.Pour en savoir plus sur cette série, personne ne la décrira mieux que la photographe elle-même, Jeanne Ménétrier : "Je suis multiple, je suis mouvante, je suis sensation. J’ai mené pendant près de deux ans un travail d’introspection pour comprendre qui j’étais au fond de moi.L’appareil photo argentique enregistrait des fragments, des éclats de ma personnalité. La série devient révélatrice de qui je suis ; cette boule à facettes. J’avais besoin de me comprendre dans mon entièreté, de pouvoir, une fois au moins, me voir dans mon ensemble, de voir toutes les facettes en une seule fois. Je ne porte presque aucun vêtement car ceux-ci m’enferment, le poids social qu’ils véhiculent ment. La nudité, elle, ne triche pas, ne cache pas, au contraire, elle me révèle. La double exposition, le flou et le brouillage sensibilisent et montrent la part de subjectivité qui est en moi. Chaque image est sentie, intuitive, intrusive et intime. L’ensemble capte alors qui je suis. Mes couleurs, mes mouvements, mes sentiments se révèlent à moi pour répondre à cette question : Qui suis-je ?"

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jeremy bwilliams

Jeremy BWilliams, le photographe autodidacte

07 juin 2017

Comment t’appelles-tu et quel âge as-tu ?Je m’appelle Jeremy B Williams, j’ai 31 ans. Quel est ton métier?C’est une question compliquée... Disons Artiste. Ca résume un peu.Quelles études as-tu fait pour en arriver là et pourquoi as-tu décidé de partir dans le secteur artistique ?Aha, c’est là que c’est compliqué… J’ai commencé ma vie professionnelle par la ferronnerie d’Art que j’ai étudiée et dont je suis diplômé (CAP). Je suis ensuite passé rapidement par une préparation militaire dans la Marine Nationale, puis je suis parti dans la sécurité privée. Après un accident de la route au cours d’une intervention, je me suis retrouvé très vite sans emploi. C’est là, que j’ai commencé à prendre des cours de théâtre amateur dans la Drôme, pour finalement me présenter au Conservatoire National de Montpellier. C’est durant ma période au Conservatoire que j’ai commencé à m’intéresser à la Photographie. Nous étions une flopée de jeunes acteurs fauchés et nous avions besoin de portraits pour pouvoir passer des castings… Alors j’ai acheté mon premier appareil. Quel a été ton parcours artistique entre tes études et aujourd’hui ? Mon parcours est assez lié aux études finalement… Je suis autodidacte en photographie alors je ne cesse de me former de quelques manières que ce soit : en discutant avec d’autres photographes, en lisant, et bien sûr, grâce à internet. Je crois que j’étudierai tout au long de ma vie car il y a énormément de choses à apprendre… Et heureusement, c’est ce que j’aime !Comment décrirais-tu ton style aujourd’hui? A-t-il évolué ?  Je ne crois pas avoir de style photographique particulier, ou du moins, je n’en ai peut-être pas encore conscience ? Je suis curieux de nature et je n’arrive pas à me cantonner à une seule chose. Peut-être que c'est ça mon style. Pour ce qui est de l’évolution, disons que ce qui est sûr, c’est que j’évolue chaque jour de manière différente, que ce soit dans la technique ou dans ma manière de voir et d’appréhender la photo. Mon style, suivra probablement. Quels sont les aspects qui te plaisent le plus dans ton activité de photographe ?C’est de pouvoir passer du tout au tout, d’un extrême un autre. Faire du nu dans une roulotte le Vendredi, des photos de mariage le Samedi et passer mon Dimanche embusqué dans un buisson à attendre un cerf qui ne viendra jamais. Il y a aussi autre chose que j’aime encore plus : c’est fouiller dans mes photos et observer des clichés pris il y a longtemps et pouvoir m’arrêter sur des portraits, sur n’importe quel visage, le regarder autant de temps que je le souhaite et me dire : « Putain, il est beau ce con ! » (ou « elle est belle », bien entendu). As-tu un message à faire passer ?Un message d’amour. Il faut s’aimer soi-même et aimer ceux qui nous entourent ! Absolument tous. C’est une des choses les plus difficiles à faire mais c’est la base de tout et même de la photographie ! Ceux qui disent que la base de la photo c’est la lumière c’est qu'ils n’ont pas encore compris…Pour voir plus de photos de Jeremy BWilliams, rendez-vous sur sa page Instagram.N'hésitez pas à vous rendre à son exposition TRIPTYK, c'est jusqu'au 30 juin, au Panier Beau & Frais situé dans le quartier des Beaux Arts à Montpellier.

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